14 février 2018 à 10:10
La Météo n'est pas une science exacte
La météo n’est pas une science exacte. La sortie de mardi nous en apporte une nouvelle preuve. Nous sommes douze au départ de la Rando douce, gonflés à bloc. La pluie ce n’est pas pour nous. D’ailleurs Météo Blue est catégorique, nous aurions ben 1 millimètre de pluie mais seulement après 17 h.
A 14h pile, nous nous engageons dans un périple on ne peut plus montéchois : canal latéral, forêt d’AGRE, Maison Forestière, à nouveau forêt d’AGRE et retour par le canal de MONTECH. La Maison Forestière est atteinte sans problème même si, un court moment, Georgette éprouve le besoin d’aller sentir au plus près l’odeur des feuilles tombées sur le chemin. Après la traversée de la D928, nous avons un bel aperçu du travail des bucherons : une parcelle bien dégagée où ne restent que les individus sélectionnés pour leur vigueur et des traces de débardage qui ne manquent pas d’élégance.
Un moment, un fol espoir nous envahit : un peu de bleu apparait dans le ciel et nous nous imaginons que le soleil suivra. Il n’en est rien. Le ciel se charge à nouveau très rapidement et les premières gouttes saluent notre arrivée sur le canal de MONTECH. Ce n’est certes pas le déluge mais une bonne averse bien froide qui nous accompagnera jusqu’aux Tables. Le paysage s’habille alors d’une grande tristesse et, si le canal n’a pas la désespérance de celui de BREL, sa surface capitonnée par la pluie ne respire pas la joie.
L’arrivée aux Tables pose le classique problème de la distance parcourue…en des termes peu habituels : la montre de Marc s’est bloquée à 6,2 km, son GPS n’a pas été activé et il est resté bien au chaud dans son sac. Heureusement, le smartphone de Jean Noël a tout enregistré. Il indique 8,4 km. La vielle bonne IGN au 1,25 000 est légèrement plus généreuse : 8,7 km. Nous avons marché un peu moins de 2 heures et nous sommes au cœur de cible de la Rando Douce. C’est le principal.
Mardi prochain nous marcherons en dehors de MONTECH et le départ est avancé à 13h30, toujours aux Tables.
Marc
Commentaires